Site icon Cédric Thoma – conseiller municipal de Fontainebleau

Stop aux outrages envers la France !

Cher tous,

C’est avec une certaine indignation que je prends la plume. Qu’entends-je ? Un concours de « politquement incorrect » organisé par la FNAC de Nice a choisi la photo ci-dessus comme lauréat !!

C’est un outrage au drapeau français, à tous ceux qui se sont battus pour elle à travers les âges et qui à chaque cérémonie (la prochaine est demain) font vivre le souvenir. C’est incroyable qu’un jury puisse tolérer un cliché comme celui-là et qu’en plus le candidat finisse lauréat !

Où va-t-on ? La France est une grande Nation, ouverte et tolérante mais mince, il y a des limites que tous les citoyens et résidents français se doivent de respecter. L’outrage au drapeau est un acte inqualifiable. Ceci me rappelle un match « France-Algérie » – d’ailleurs interrompu avant la fin – au cours duquel certains avaient sifflé la Marseillaise. Jacques Chirac, président de la République avait alors déclaré qu’il « ne tolérerait pas et n’accepterait pas que l’on siffle la Marseillaise ». Il avait raison et il aura toujours raison dans ce genre de situation.

La France, on doit la respecter. La France, on doit l’aimer. Car la France nous respecte et nous aime.

Halte aux dérives anti-patriotiques ; n’oublions pas d’où l’on vient. N’oublions pas où l’on va : ensemble, vers l’avenir, dans une République respectée qui s’occupe des siens, qui à leur tour lui sont redevables.

Ce débat m’en rappelle un autre très d’actualité : le débat sur la burqa. Pour moi, c’est non, la burqa n’est pas la bienvenue en France. Non pour des raisons religieuses mais pour des raisons culturelles : en France, on vit à visage découvert. On se doit de respecter la culture du pays où l’on réside : l’idée ne viendrait  à personne de contester le port du voile par les Européennes (musulmanes ou non) dans des pays où les femmes vivent voilées. C’est la même chose en France. Les droits de l’homme dans notre pays, ce sont aussi les droits de la femme comme le rappelle notre Constitution.

A bon entendeur

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